Le monde fascinant de la Macro

Le photographe Long-Nong Huang vous invite à plonger dans le sublime monde de l'infiniment petit à l'aide du TAMRON 90 mm F/2.8 Macro. De la forêt en pleine tempête aux expériences artistiques en studio, il maîtrise lumière, composition et technique pour transformer les moindres détails en œuvres d’art saisissantes. Un voyage visuel entre nature sauvage et créations abstraites, où chaque cliché révèle un monde presque invisible à l'œil nu.

Étudiant en commerce, Long-Nong Huang avait l'habitude de décompresser en arpentant la campagne helvétique depuis l'Allemagne jusqu'en Suisse pour se détendre en pleine nature. « J'ai commencé à publier des photos sur Instagram et à réaliser des vidéos », explique-t-il. « J'ai finalement décidé de quitter mon emploi de responsable événementiel pour me consacrer à la photographie à plein temps, ce qui m'a conduit à devenir photographe de nature et de voyage. »

En dehors de ses aventures en plein air, où il travaille sur des projets pour des offices et agences de tourisme, Long aime relever le défi d'expérimenter différents genres photographiques, notamment en prenant des photos macro en gros plan avec le TAMRON 90 mm F/2.8 Di III MACRO VXD pour hybride Sony FE. «  Pour ce genre de clichés, réussir la mise au point est l'un des aspects les plus difficiles », explique-t-il. « L'éclairage est également primordial : une lumière trop forte peut gâcher une photo macro. En studio, je photographie en macro, avec des boîtes à lumière et des lampes vidéo. En extérieur, si la lumière n'est pas optimale, j'utilise une petite lampe LED et du papier aluminium pour optimiser la lumière disponible et obtenir les meilleures images.»

Avec son ouverture maximale de f/2,8, une courte distance de mise au point de 23,1 mm et un rapport de grossissement maximal de 1:1, la focale fixe 90 mm f/2,8 permet à Long de sublimer ses photos macro. « D'habitude, j'hésiterais à utiliser l'autofocus avec un objectif macro comme celui-ci pour photographier, par exemple, un insecte en mouvement, car ce serait trop lent », explique-t-il. « Mais cette nouvelle version du téléobjectif macro TAMRON 90 mm fonctionne parfaitement avec mon appareil photo Sony. » L'autofocus est rapide et précis, me permettant de capturer chaque instant fugace.

Nous nous promenions en forêt par un jour de tempête, à la recherche de champignons, lorsque je suis tombé sur un sujet inattendu : un pissenlit partiellement cassé. J'ai utilisé ma lampe de poche pour l'éclairer et j'ai pris la photo de haut en bas, de sorte que l'arrière-plan herbeux devienne noir pur, imitant l'effet d'un studio. J'ai ainsi pu transformer une photo prise en extérieur avec l'objectif Tamron 90 mm en une image semblant avoir été prise dans un environnement plus contrôlé.

J'ai pris cette photo incroyable en studio. Il s'agit d'un cactus acheté dans un magasin de plantes du coin. J'ai passé plusieurs heures au magasin à examiner les plantes ; les employés ont dû me prendre pour un passionné de plantes. J'ai finalement opté pour une douzaine de plantes, mais ce cactus a été mon préféré, grâce à ses motifs répétitifs intrigants et à ces touches de rouge pâle sur ses minuscules tiges. Certains pourraient ignorer ce genre de sujet sous prétexte qu'il est « désordonné », mais j'aime photographier des plantes comme celle-ci.

Cette photo de joubarbe symbolise pour moi l'interaction fascinante entre ordre et chaos inhérente à la nature. À première vue, la plante semble symétrique, mais un examen plus approfondi révèle que sa disposition est en réalité assez aléatoire. C'est un visuel intéressant sur lequel je voulais me concentrer. J'ai saupoudré quelques gouttes de glycérine sur la plante pour lui donner une texture supplémentaire et rehausser sa beauté naturelle.

L'objectif de cette image était de créer des formes et des motifs abstraits, obtenus à l'aide de gouttes d'encre acrylique colorée dans l'eau. On ne sait jamais à quoi s'attendre avec ce type d'expérience. L'encre pénètre dans l'eau, créant des nuages ​​de couleurs imprévisibles. La seule façon de contrôler le rendu artistique est de choisir des couleurs complémentaires qui se reflètent les unes sur les autres. Pour une photo comme celle-ci avec l'objectif Tamron 90 mm, prenez autant de photos que possible, car vous ne saurez peut-être qu'après, lors de la retouche, lesquelles ressortent le mieux.

Ici, je voulais créer une photo plus dynamique et abstraite, comme l'encre dans l'eau. J'ai donc rempli un récipient de 25 cm de lait coloré à l'acrylique, puis j'ai ajouté de l'huile végétale et du liquide vaisselle, créant ainsi des tourbillons et des bulles spectaculaires. Avec une ouverture de f/6,3, j'ai pu conserver la netteté sur les différentes profondeurs de la scène, y compris dans les bulles en relief. On peut ici apprécier la netteté exceptionnelle du TAMRON 90 mm dans toutes ces minuscules taches de couleur.

Les champignons peuvent être difficiles à photographier, car ils manquent souvent d'un point focal esthétique qui se démarque comme une fleur. Je tombe aussi souvent sur des cèpes, qui, bien qu'idéals en cuisine, sont un peu trop gros pour être photographiés efficacement avec un objectif Tamron 90 mm. Dans ce cas, j'utilise souvent la méthode du focus stacking, ce qui me permet de prendre différentes photos avec différentes zones de netteté et de choisir ensuite la meilleure version.

Ce sont les plus petits champignons que j'ai pu photographier : environ 2,5 à 4,5 cm de haut. En les photographiant à hauteur des yeux, j'ai pu composer un cliché qui les rend bien plus imposants qu'ils ne le sont en réalité. Avec l'objectif Tamron 90 mm f/2,8, j'ai également pu m'approcher d'assez près d'un autre petit champignon, le barbier, qui pousse dans toutes les forêts allemandes et est connu pour sa ressemblance avec le corail marin.